Yasmin

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Sites de rencontre : Les femmes à la recherche d’un partenaire

Nom, Prénom
Maria*, 27 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi. Je suis une femme qui aime la vie et la nature avec laquelle je suis en contact permanent et dont je souhaite partager. Je suis une personne qui aime apprendre de nouvelles choses, qui aime la culture et les voyages, qui aime faire du sport et qui ne cherche pas forcément un mari

Sites de rencontre : Les hommes à la recherche d’un partenaire

Jérôme, 26 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi.
Sylvie, 29 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi. Je suis une femme qui adore la vie et la nature avec laquelle je suis en contact permanent et dont je souhaite partager.
Pierre*, 33 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi.
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Marie, 21 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi.
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Philippe, 49 ans, habite à Stuttgart et est actuellement en recherche d'emploi.

Yasmin Yasmina Belkhadem, une militante des droits de la femme, de l’enfant et de la famille, a été élue par ses pairs membres du comité exécutif de l’Association des Journalistes Algériens (AJA) en avril 2011. Elle est actuellement directrice de communication du groupe OCP et vice-présidente de la Fédération nationale des associations de la famille algérienne. Son travail porte sur la promotion des droits de la femme, des droits de l’enfant et des droits des familles, notamment dans le domaine de la santé. Depuis plus de 25 ans, elle collabore à des publications nationales et internationales, et ses écrits ont été traduits en plusieurs langues. Yasmin Yasmina Belkhadem est aussi connue pour ses engagements dans la société civile. Elle est fondatrice de l’association « Révélation des enfants sans identité », et de l’association des familles victimes du terrorisme en Algérie. Elle est la coordinatrice nationale de la campagne « Stop au viol et aux violences sexuelles » et membre du Conseil national de la femme. En 2013, elle a été nominée par la presse nationale pour le Prix « Etoile de la presse ». Yasmin Yasmina Belkhadem est une personnalité engagée dans la promotion des droits de la femme et de la famille. Elle est membre de l’Association des journalistes algériens (1991), du Comité de pilotage pour la promotion des femmes algériennes (2000), de la Fédération nationale des associations de la famille algérienne (FNAF), de la Fédération des associations des parents et tuteurs des élèves (2010), de l’association « Révélation des enfants sans identité » (2010), de l’association des familles victimes du terrorisme (2012), de la commission « droits des femmes » du Forum des jeunes de la société civile algérienne (2014) et du Conseil national de la femme (2017).

Elle est actuellement directrice de communication du groupe OCP et vice-présidente de la Fédération nationale des associations de la famille algérienne (FNAF), de la Fédération des associations des parents et tuteurs des élèves (2010), de l’association « Révélation des enfants sans identité » (2010), de l’association des familles victimes du terrorisme (2012), de la commission « droits des femmes » du Forum des jeunes de la société civile algérienne (2014) et du Conseil national de la femme (2017).

Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs en Informatique, Electronique, Mathématiques et Physique (ENSIEPM) عباس الوطاني - Alger, Algérie - 164 membres de la communauté

Université d’Oran عباس أحمد سمعا - Oran, Algérie - 163 membres de la communauté

Les femmes de moins de 35 ans sont plus à risque de développer un cancer de l’endomètre. La pilule contraceptive est associée à un risque accru de cancer de l’endomètre par rapport aux femmes qui n’ont jamais utilisé la pilule.

Les femmes ayant un taux de femmes prenant une pilule contraceptive estroprogestative élevé sont plus à risque de développer un cancer de l’endomètre. L’Agence du médicament américaine vient de publier une mise à jour des données sur ce risque. Cette étude, menée entre 2009 et 2013, a consisté à comparer les taux de femmes de moins de 35 ans prenant une pilule contraceptive estroprogestative (PERM) à ceux qui n’en avaient pas.

La pilule estroprogestative est le nom d’une classe de contraceptifs oraux qui contient du désogestrel et du lévonorgestrel.

Des études épidémiologiques montrent un lien entre la prise d’une pilule contraceptive et le risque de cancer de l’endomètre

Les études épidémiologiques montrent un lien entre la prise d’une pilule contraceptive et le risque de cancer de l’endomètre chez les femmes qui en prennent. En 2013, une vaste étude menée par le centre de recherche du National Cancer Institute (États-Unis) a évalué le risque de développer un cancer de l’endomètre chez les femmes qui prenaient une pilule contraceptive orale. Les chercheurs ont inclus 10 408 femmes qui ont reçu des implants contraceptifs ou des contraceptifs oraux combinés pendant 10 ans ou plus.

Après ajustement, ils ont trouvé un lien significatif entre le taux de femmes ayant un cancer de l’endomètre et la prise de pilules contraceptives. Les chercheurs ont utilisé des données des études SCORE et PERM et ont estimé que les femmes qui prenaient une pilule contraceptive étaitroprogestative étaient 20% plus susceptibles de développer un cancer de l’endomètre que les autres femmes prenant la même pilule.

Les effets à long terme de la pilule sont encore inconnus

Les chercheurs ont ensuite comparé le risque de développer un cancer de l’endomètre chez les femmes qui prenaient une pilule contraceptive orale estroprogestative avec celui de femmes qui n’en prenaient pas.

Les chercheurs ont utilisé des données de l’étude SCORE et de l’étude PERM pour évaluer le risque de cancer de l’endomètre chez les femmes qui prenaient une pilule contraceptive orale estroprogestative et celles qui n’en prenaient pas.

Ces études n’ont pas été conçues pour estimer les effets à long terme de la pilule sur la santé des femmes.

Les femmes qui prennent une pilule contraceptive estroprogestative sont plus susceptibles de développer un cancer de l’endomètre que les femmes qui n’ont jamais utilisé de contraceptif oral.

Les chercheurs ont conclu que les femmes de moins de 35 ans devraient utiliser une méthode de contraception efficace pour réduire leur risque de cancer de l’endomètre. Le risque est encore inconnu, car les études n’ont pas été conçues pour estimer les effets à long terme de la pilule sur la santé des femmes.

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